On parle beaucoup de la Nouvelle-Zélande en ce moment suite à la défaite de leurs éminents représentants tout de noir vêtus. On parle beaucoup moins des Shocking Pinks et de leur album éponyme sorti il y a peu. Emmené par Nick Harte (ex-batteur des Brunettes), le quatuor s’était déjà fait remarquer en 2004 avec leur 1er album « Dance the Dance Electric ». Désormais signés sur le label new-yorkais DFA (LCD Soundsystem, The Rapture, Hot Chip), les Shocking Pinks sont donc de retour avec un album entièrement composé et interprété par Nick Harte. Le bougre pousse le vice jusqu’à jouer de tous les intruments (batterie, guitare, synthé, basse…).
Le résultat est un mélange plutôt agréable entre New Order (This Aching Deal) et Jesus&Mary Chain (I Want U Back), entre shoegaze, electro et savoir-faire pop. Quelques morceaux sont en écoute sur leur page Myspace dont l’excellent This Aching Deal et d’autres sont disponibles en streaming sur cette page.
Shocking Pinks – End of the World
10 octobre, 2007 at 8:35
raconté comme tu l’as fait dans ton post de rentrée ça avait pas l’air pourri ton voyage… ça m’avait choqué « Toto en voyage organisé? » pas toi! Pas nous! Après le choc on excuse aussitot mais ça ébranle. 🙂
En écoutant les schocking pinks on se dit que y a pas que les rugbymen qui se droguent en Nouvelle-Zelande… Sinon j’aime bien le son crad de la battery et le jeu très « lol »… Le clavier joue aussi comme Lol d’ailleurs… Ils ont fait une tournée en N-Z Cure ya 20 piges…
10 octobre, 2007 at 9:50
🙂 ya pas de blême t’inquiètes. Je préférais juste rétablir la vérité.
C’est vrai que ça sonne bien Cure également, surtout End of the World.
10 octobre, 2007 at 10:26
Tout ça pour boire un coup à l’oeil… tu crois que je t’ai pas vu venir!
La soutenance est ouverte à tous ceux qui peuvent se retenir de ronfler, et de pleurer (je dis ça pour mes parents qui hallucinent encore que j’ai réussi à fixer une date)…