Crédit photo : Heather Cate
Je vous avais parlé ici du petit coup de cœur de fin d’année que j’avais eu pour les Californiens de Letting Up Despite Great Faults et leur premier album autoproduit. Pour tout vous dire, c’est la pochette de leur album qui m’avait séduite au départ, je trouvais cette photo vraiment belle, incongrue mais belle. C’est ensuite avec leur musique que ces Américains ont fait vibrer la fibre shoegaze/mid tempo qui sommeille en moi. J’avais évoqué à l’époque de mon billet leur filiation évidente avec la clique Sarah records (The Field Mice en tête), Slowdive ou The Postal Service mais j’aurais tout aussi bien pu parler de M83, Galaxie 500 ou plus près de nous de The Pains of Being Pure at Heart avec qui ils partagent les mêmes influences. Leur musique agit comme un bain de jouvence sur mes oreilles, peut être à cause de la candeur adolescente qui s’en dégage. Ca ne révolutionnera pas l’histoire de la musique mais ça aura bien égayé mon quotidien cet hiver et c’est déjà beaucoup.
8 avril, 2010 at 10:10
toto le pic de la mirandole du rock indé… ça fait plusieurs semaines (voire mois) que je visite régulièrement ton blog en silence (je sais que ma parêsia ne fait pas toujours plaisir à lire) et tu me fais découvrir pleins de groupes et avec une certaine justesse dans les commentaires (des fois je ne suis complètement pas d’accord avec toi mais bon, les gouts et les couleurs…), ok je suis largué en rock depuis au moins 15 ans (parles-moi du dernier opéra de dusapin ça ira mieux) mais je remarque quand même que tu connais beaucoup beaucoup de groupes pas connu du tout(par moi et bien d’autres semble-t-il), en plus des fois tu me rappelles un prof que j’ai eu en fac (gilles cantagrel) qui nous racontait presque la façon qu’avait Bach d’enfiler son slip le matin tellement il savait tout sur le sujet. Ou alors le sketch des inconnus sur les radios parisiennes, mon préféré:
« -c’était Tom bistrub et son quartet sur jazz fm maintenant nous allons écouter bill swifer et son quintet avec john slipist à la basse et cary longhorn à la batterie mais on l’écoute et on en reparle après…
-oui on en reparle après… c’était la session du 12 novembre ’52 quand bill avait un rhume et que la femme de john était parti avec le trompettiste du bill coban trio pour une randonnée dans les alpages… mais on en reparle après…
-oui on en reparle après… john slipist qui d’ailleurs adorait les araignées et qui à ses moments perdus faisait du… »
🙂
Je n’ai pas ton adresse mail et je voudrais avoir ton avis sur un projet que j’ai et pour lequel ton blog et celui de ta communauté de pop-rockers mélomanes a été le chainon manquant. Si tu peux me communiquer cela (tu as mon adresse dans le formulaire de commentaires) je serais content d’avoir donc un premier avis sur mon idée. Si tu ne peux pas récupérer mon adresse mail elle est simple c’est mon prénom et mon nom attachés @hotmail.fr, n’oublie pas : un h pas un k pour le prénom et un t à la fin de mon nom…
à biental dans ma boite mail.
8 avril, 2010 at 10:21
en passant : ça fait plaisir d’entendre qu’il y a encore du bon vieux shoe gazer murmurant, c’est un style qui est idéal pour le français c’est dommage que personne n’aie encore eu l’idée de le faire à ma connaissance. Faut que je m’y colle… quand j’aurais le temps…